Thor: de l’Islande à Avengers


L’expérience initiale de Thor a présenté les visiteurs du médecin Donald Blake. Pendant ses vacances en Norvège, Blake tombe sur une pression d’attaque des mâles en pierre naturelle de Saturne (une compétition extraterrestre connue plus tard sous le nom de Kronans). Une fois que le médecin effrayé se réfugie à l’intérieur d’une grotte proche, il trouve une canne, qu’il attaque du mur, pour se retrouver considérablement altérée. Blake obtient le tonnerre du seigneur Thor, et aussi la canne se transforme en marteau enchanté Mjolnir. L’inscription dans le marteau déclare: « Quiconque tient ce marteau, s’il le mérite, devrait posséder le pouvoir de Thor. » En tant que Thor, Blake pouvait prendre son envol et gérer le temps, et il possédait une durabilité incroyable. Mjolnir est revenu comme par magie après avoir été jeté, mais quand il a été loin de la compréhension de Thor pendant plus d’une minute, Thor est revenu à son identité personnelle civile en tant que Blake. Aucun des deux Lee ni Kirby n’était régulièrement en mesure de faire correspondre la bande dessinée de Thor à leurs agendas pour ses quelques premières années, donc le frère de Lee, Larry Lieber, a scénarisé une grande partie du matériel initial. Après de nombreux problèmes, Kirby a déménagé sur les nouveaux titres X-Guys et Avengers, mais pas juste avant d’ajouter à la distribution d’aide de Thor. De retour à Ny, Blake a organisé un exercice avec une jeune infirmière autorisée connue sous le nom de Nara Foster, dont il est rapidement tombé amoureux. Elle est restée longtemps ignorante de l’ego modifié de Blake, néanmoins, révélant que la connaissance était totalement interdite par le père de Thor, Odin, le souverain des dieux nordiques dans le monde lointain d’Asgard. Le méchant demi-frère de Thor, Loki, le seigneur du mal, a offert parce que le méchant répétitif le plus notable de la bande. Thor a rapidement rassemblé des ennemis plus terre-à-terre fiables, dont le Gray Gargoyle, Radioactive Man, le Cobra et Mister Hyde. Thor a été l’un des fondateurs des Avengers en 1963, mais sa série solo dans Quest into Secret a commencé à progresser alors que Lee et Kirby sont revenus à la fin de 1963 pour modifier l’accent mis sur la bande, de la lutte contre le crime lié à la Terre à l’art plus expansif et artistique. monde d’Asgard. L’équipe créative a lancé une toute nouvelle gamme, «Tales of Asgard», qui a adapté les histoires nordiques et les a intégrées au groupe en pleine expansion des Asgardiens. L’un des nouveaux héros les plus importants a été les compagnons de Thor, Volstagg, Fandral et Hogun, un groupe de musique appelé collectivement Warriors 3 et son demi-copain Balder. Heimdall, gardien du Rainbow Link to Asgard, et Sif, une jeune fille de défense qui a certainement été l’un des combattants les plus compétents d’Asgard, voyage Islande ont également été aidés. Parmi les antagonistes asgardiens introduits au cours de cette période, il y avait la sorcière Karnilla, Amora l’Enchanteresse, ainsi que Skurge, le bourreau brandissant une hache. Les légendes nordiques intéressaient Kirby depuis des années et, avec sa pensée créative pratiquement sans limites, elles ont motivé un certain nombre de ses plus grandes œuvres d’art: des scènes de combat incroyables, de vastes perspectives cosmiques et des créatures étonnantes. Juste après le numéro no. 125 (février 1966), Journey into Mystery a été renommé Thor, avec un flux des derniers héros et méchants apparus. Une longue histoire a publié le grec ancien, le seigneur Hercule, son papa Zeus et le souverain du Netherworld, Pluton. Plus tard, les histoires ont mis en évidence le troll rock grotesque Ulik; Hela, la déesse de la mort; et le démon de la flamme Surtur, la plupart de ceux-ci ont conspiré contre Asgard. Au milieu de tout le sommeil, il va sans dire qu’il y avait des intrigues et des techniques normales de Loki. L’origine du personnage a finalement été modifiée pour clarifier le lien Web entre Blake et Thor. Souhaitant instiller en lui un sentiment d’humilité, Odin avait puni Thor en le transformant en Blake mortel. Par conséquent, lorsque Blake a identifié la canne, il s’est transformé directement en son propre moi, le puissant Thor. Les créateurs ont moins utilisé l’identité Blake et, en 1970, elle a surtout été abandonnée. Ce fut un tournant pour 12 mois pour votre attribut, car il a observé le départ de Kirby pour DC Comics, où il produirait les Nouveaux Dieux, un panthéon qui tirait exactement du même bien innovant que son travail sur Thor.



On pense au dauphin


Avant de décrire plus en détail ses fondements et ses pratiques, il est nécessaire de préciser quelques notions d’ordre général concernant les thérapies assistées par l’animal, ou facilitées par l’animal, appelées aussi parfois, plus simplement, thérapies animales ou zoothérapies. La diversité de la terminologie employée témoigne d’un manque de consensus quant au rôle exact tenu par l’animal dans ces pratiques qui impliquent surtout des animaux domestiques et de compagnie. On comprend qu’ils sont utilisés comme médiateurs par le thérapeute. En revanche, on comprend moins bien comment un chien, un chat, un cheval, un lapin ou un oiseau peuvent indifféremment participer au traitement de personnes âgées, d’adolescents en rupture avec la société, de détenus, d’enfants hospitalisés, de personnes souffrant d’un déficit moteur ou mental et d’enfants autistes. La variété des espèces animales choisies, combinée à la pluralité des troubles et de leurs symptômes, requiert d’analyser sérieusement les thérapeutiques employées, les objectifs attendus, les moyens mis en œuvre pour les atteindre, et d’expliquer clairement la motivation du choix de l’animal. Les critères sélectifs déterminant le choix d’utiliser un animal en particulier et les « spécialités animales » demeurent toujours flous.

6Le chien (animal le plus utilisé) participe dans le traitement des psychoses, des dépressions, des aphasies, des désordres émotionnels et des problèmes liés au vieillissement. Le cheval intervient dans des cas de psychoses, dépressions, désordres émotionnels, paralysies cérébrales et retards mentaux combinés à des difficultés d’apprentissage. Un animal unique peut donc être employé comme médiateur dans le traitement de divers troubles. De plus, les « spécialités » de chaque espèce sont redondantes.

7Selon la littérature concernée, le dauphin est utilisé dans des cas d’autisme, de dépression, de retard mental, de difficultés motrices et langagières et, plus rarement, en cas de lésions cutanées ou de déficiences immunitaires. Des articles décrivent l’intervention bénéfique du dauphin dans le traitement de cas d’anorexie, de cécité, de surdité, de phobies, de cancer, d’une mauvaise estime de soi… Il n’existe donc pas, a priori, de profil type du patient nécessitant une delphinothérapie, patient qui par ailleurs associe fréquemment plusieurs de ces troubles. À titre illustratif, je présenterai très brièvement le déroulement général de certaines séances de delphinothérapie. Le soigneur-animalier renforce les comportements des dauphins tels que : se tenir à proximité, se laisser caresser, rester en surface, etc. D’après les interprétations qu’il donne aux personnes en souffrance, ces postures sont les manifestations d’un intérêt du dauphin à leur égard et témoignent de la réussite de l’interaction. Avec le thérapeute (resté sur le bord du bassin), il aide ces personnes à penser qu’elles peuvent parvenir à être en relation avec l’autre (ici un animal « intelligent ») et établir, avec succès, une communication. Les comportements de l’animal sont utilisés par le thérapeute comme renforçateur positif des actions du patient et lui garantissent une amélioration dans la qualité de sa communication. Il est à noter que le « sourire » de l’animal accentue cette impression de réussite dans l’échange.

8Ce type de thérapie est né, conjointement, aux États-Unis et en Angleterre, dans les années 1970, mais s’est réellement développé dans les années 1980. Ses précurseurs sont Bettsy Smith (anthropologue) et David Nathanson (psychologue) aux États-Unis, et Horace Dobbs (neurophysiologiste) en Grande-Bretagne. Son principe consiste à placer des enfants au contact d’un dauphin (un « dauphin souffleur » en général) en présence d’un thérapeute ou/et d’un psychologue. Ce contact peut se faire lorsque l’enfant est dans l’eau ou sur le bord du bassin. Smith a travaillé essentiellement avec des enfants et des adolescents autistes en employant une thérapie par le jeu. Ses résultats montrent une augmentation du temps de concentration de ses jeunes patients et l’émergence de réponses sociales. Cependant, comme elle le précise elle-même, dauphins ses études n’apportent pas de preuves scientifiques quant à un effet spécifique du dauphin dans le traitement de l’autisme. Le premier programme régulier de delphinothérapie a été initié en 1988 au Dolphin Research Center (Étas-Unis). Nathanson a systématisé ces séances d’un type particulier avec des dauphins. Il avance que ces animaux, mis en présence de personnes souffrant de sévères handicaps mentaux, augmentent leur niveau d’attention et leur motivation, et, en conséquence, facilitent les capacités motrices et langagières de ces personnes. La démarche de Nathanson est un peu plus scientifique que celle de Smith. Alors que Smith met l’accent sur le côté relationnel, analysant ses résultats en termes de communication, de relation, de jeu et d’émotion, les séances de Nathanson apparaissent plus structurées, les interactions avec les dauphins sont plus contrôlées et les résultats sont interprétés dans une perspective cognitive (attention, motivation, apprentissage). Cependant, une étude a mis en évidence un manque de rigueur et de sérieux dans la méthodologie employée, l’analyse et l’interprétation des résultats (Marino et Lilienfield, 1998). Trop peu de travaux emploient une démarche scientifique et élaborent des protocoles de recherche. Avec un souci d’objectivation scientifique, la psychologue V. Servais a étudié les effets de séances de delphinothérapie sur douze enfants diagnostiqués autistes (Servais, 1999) [1]. Cette étude s’est déroulée en Belgique et a duré quatre ans. De nombreux problèmes sont survenus dans sa réalisation qui peuvent avoir détourné le but premier de celle-ci. En effet, pour lutter contre « l’univers merveilleux du dauphin » et par souci de scientificité, peu de place a été laissée à la communication et à l’interaction. Les résultats obtenus ne permettent pas de conclure de façon définitive quant à l’existence d’un effet positif des dauphins sur l’apprentissage et sur le niveau attentionnel et communicationnel de ces enfants. Cependant, ce projet a montré que cela pouvait marcher dans certaines circonstances et que le dauphin n’a pas d’effet thérapeutique : c’est « ce qu’en fait » le thérapeute dans sa relation au patient qui contribue à la thérapeutique. De tels travaux sont nécessaires et ils mériteraient d’être réalisés et analysés dans la perspective d’une cognition sociale située. Cette approche reconnaît l’existence d’états mentaux et d’une intentionnalité subjective et elle prend en compte la prégnance du contexte de réalisation de toute action. Il est dommage que ces résultats préliminaires aient été, et soient encore, exploités comme une preuve que la démarche scientifique et l’élaboration d’un protocole de recherche sont inutiles ou néfastes. Le projet belge s’est achevé en 1996, il est fort regrettable qu’en dix ans aucun autre paradigme scientifique n’ait été développé.

9Pour justifier de l’utilisation du dauphin, une particularité perceptive de l’animal (son sonar) est mise en avant. Le fait que cette capacité à générer des ultrasons soit quantifiable apporte un aspect scientifique à la pratique. Malheureusement, en dépit de quelques suppositions hasardeuses sur la véracité du bienfait thérapeutique des ondes delphiniennes sur l’homme (Cole, 1996), aucune analyse scientifique sérieuse n’a pu prouver que tel était bien le cas. Au contraire, les études réalisées montrent que les séances de delphinothérapie ne répondent aucunement aux critères retenus dans les traitements médicaux utilisant les ultrasons (c’est-à-dire fréquence et durée d’exposition, niveaux d’intensité) (Brensing, 2005). Dans un article récent, Antonioli et Reveley (2005), se plaçant dans une approche holistique, ont montré que les interactions avec des dauphins pouvaient atténuer les symptômes d’une dépression modérée. Comme pour l’étude belge, ces auteurs suggèrent que l’amélioration de l’état des patients n’est pas uniquement due au dauphin. Il n’est qu’un médiateur, ce n’est pas lui qui fait le travail thérapeutique. On se demande alors s’il ne serait pas possible d’obtenir des résultats similaires sans le dauphin et l’on déplore le manque d’information concernant le travail du thérapeute, la nature et la forme de la thérapeutique et le contenu des sessions.



Pas de vision, pas de stratégie


La montée des partis populistes à travers l’Europe est une grave menace pour l’intégration européenne. Quelles que soient leurs idéologies politiques sous-jacentes, les partis populistes bénéficient principalement du scepticisme généralisé de l’UE au sein de leurs circonscriptions nationales. Dans le même temps, critiquer l’UE ne consiste plus à dénigrer Bruxelles. Il s’agit du Sud dénigrant le Nord, le Nord dénigrant le Sud et certains dénigrant l’Allemagne, bien souvent injustement. Il est grand temps que les dirigeants européens reconnaissent que l’avenir de l’intégration européenne dépend de manière critique d’un modèle d’intégration économique dont le succès n’est pas mesuré par le succès temporaire à plâtrer ensemble une zone euro en ébullition. Contexte Le scepticisme de l’UE se situe à des niveaux record et le sentiment anti-UE prend de plus en plus d’ampleur en Europe. Bien que n’étant pas nouveau, une bonne partie du sentiment a augmenté grâce à la crise de la zone euro et aux politiques de gestion de crise qui ont suivi. Les dirigeants européens ont fait de nombreuses promesses, mais ont finalement été rattrapés par la réalité politique et n’ont pas répondu aux attentes politiques. De nombreuses économies de la zone euro souffrent toujours de la stagnation économique et du chômage extrême. Le niveau de la dette publique continue d’augmenter, accommodé par la BCE. La banque centrale continue d’inonder les marchés financiers d’argent d’une manière qui fausse gravement les prix des actifs, les plans d’épargne et les attentes économiques. Plus particulièrement, l’écart de prospérité au sein de la zone euro ne cesse de croître et de nombreux citoyens se considèrent plus méprisés que jamais par l’UE. Au bout du compte, le soutien à tout modèle d’intégration européenne sera gagné ou perdu sur deux questions centrales: les résultats économiques qu’il produit et s’il peut préserver un degré significatif de souveraineté politique et économique. Sur la tendance actuelle, la zone euro, actuellement au cœur de l’intégration économique européenne, ne répond pas aux deux critères. Les dirigeants européens continuent de suivre des politiques d’essai et d’erreur pour lutter contre les forces économiques qui séparent ses membres et menacent l’unité européenne. Pourtant, ces politiques ne représentent qu’une faible défense. Il devient urgent de dénoncer les illusions politiques qui sont à l’origine de cette tendance. Illusion 1: Une monnaie unique facilitera enfin une intégration politique plus approfondie des États membres de l’UE. La zone euro a toujours été un projet politique plutôt qu’économique. Pourtant, l’adhésion à l’euro était auparavant associée à la prospérité économique. Les économies ont été alimentées par d’importantes importations de capitaux. Les dépenses et les revenus des secteurs public et privé pourraient augmenter. C’est fondamentalement différent maintenant. De nombreux pays de la zone euro sont plongés dans de graves crises économiques. Tant pour les initiés que pour les étrangers, l’adhésion est désormais associée à l’austérité imposée par l’UE, à un niveau de vie plus bas, à la stagnation économique, à la baisse des revenus et à de douloureuses réductions des prestations de retraite. L’adhésion à la zone euro est désormais l’allégorie d’un avenir sombre. C’est tout le contraire de ce que les fondateurs de la zone euro aspiraient à réaliser: un fondement solide d’une unité politique durable. Pourtant, l’intégration politique souhaitée n’est pas proposée, loin s’en faut. Personne ne devrait parier sur l’avenir de l’euro en supposant une «union budgétaire» ou une souveraineté partagée sur la manière dont les gouvernements taxent et dépensent leurs ressources. Illusion 2: l’euro facilite la convergence économique entre les États membres et entraîne une augmentation du niveau de vie. Les pays en crise d’aujourd’hui n’ont jamais eu la structure productive pour être aussi riche qu’ils sont devenus après l’introduction de l’euro. Leurs revenus ont été gonflés par des quantités massives d’argent emprunté publiquement ou en privé qui ont été consommés plutôt qu’investis et non utilisés pour améliorer leurs capacités de production. Après une décennie de convergence artificielle, l’écart de bien-être entre le sud de la zone euro et le nord économiquement plus aisé de la zone euro se creuse désormais. En 2007, le revenu par habitant de la Grèce représentait près de 70% du revenu par habitant en Allemagne. Il est descendu à moins de 50% à la fin du boom du crédit. Le Portugal et l’Espagne présentent des tendances similaires. Les chiffres du chômage sont alarmants. Alors que les taux de chômage sont les plus bas en Allemagne (4,8%) et en Autriche (5,3%), le chômage est record et stagne en Grèce (26%), en Espagne (23%) et au Portugal (14%). En particulier, le chômage dans les pays touchés par la crise de la zone euro est bien supérieur à celui des pays non membres de la zone euro: la Bulgarie, la Roumanie et la Hongrie, par exemple, affichent des taux de chômage de 10,2, 6,4 et 7,5%, respectivement. Les jeunes générations souffrent le plus en Grèce et en Espagne, où le chômage des jeunes dépasse 50%. Pour de nombreux États membres, l’euro n’a fait qu’illusionner le progrès économique. Désormais, les pays en crise sont aux prises avec les conséquences de la stagnation économique et des mauvaises attentes économiques. Certains appellent cela une décennie perdue, mais les citoyens peuvent être privés d’un meilleur avenir économique pendant plus longtemps. Illusion 3: La survie de la zone euro dépend de la discipline budgétaire, des réformes structurelles et de l’homogénéisation des législations nationales. Ce qui peut sembler une condition sine qua non en théorie ne fonctionne pas en pratique. L’intuition ainsi que les données empiriques enseignent que les gouvernements démocratiquement élus sont myopes. Ils refusent généralement les réformes structurelles qui sont douloureuses à court terme et ne portent leurs fruits qu’à long terme. Le vieux débat sur le type d’ordre économique qui produit de meilleures performances économiques n’a pratiquement pas d’importance tant que les gouvernements ne manquent pas d’argent ou d’électeurs. En outre, les programmes de réformes structurelles ne garantissent pas la reprise économique. La réunification de l’Allemagne en est un bon exemple. Bien que la productivité et les revenus de l’économie de l’Allemagne de l’Est atteignent désormais 80% de la productivité et des revenus de l’Allemagne de l’Ouest, de nombreuses régions de l’Est n’ont pas réussi à attirer les investissements malgré les vastes programmes de subventions fournis par le gouvernement fédéral et les paiements de péréquation financière intra-allemand. C’est une chose que les membres de la zone euro ignorent systématiquement les appels lancés par la Commission européenne pour des politiques budgétaires plus stables. La transformation d’un paysage économique est une tout autre affaire. Il ne peut être délivré par l’UE ou imposé à un pays dans le cadre d’un semestre européen. Il évolue sur une longue période. La zone euro est entrée dans une phase cruciale où la future intégration économique et monétaire doit être véritablement reconsidérée. Malgré la promesse de la BCE de se tenir prêteur de dernier recours, l’épée de la sortie de la zone euro plane toujours sur chaque pays en crise. Bien que d’innombrables politiques ad hoc visant à contenir la crise aient fait la une des journaux et que de nouvelles institutions aient été mises en place pour résoudre la crise, les problèmes fondamentaux persistent. Les citoyens et les entreprises des pays en crise vivent dans la crainte d’un défaut de paiement du gouvernement, de l’effondrement des systèmes bancaires nationaux et des contrôles des capitaux. Par conséquent, les dirigeants européens sont confrontés à une décision cruciale. C’est le choix entre une stagnation prolongée et un scepticisme croissant de l’UE d’une part et des opportunités économiques à long terme pour les pays en crise et la renaissance d’un soutien public plus large à l’UE d’autre part. Les décisions des gouvernements européens en matière de résolution des crises ont été prises sur la base du paradigme selon lequel l’euro est une vache sacrée qui mérite d’être protégée de l’abattoir. Toutefois, pour certains pays en crise, la sortie de la zone euro améliorerait les attentes économiques, le sentiment des entreprises et la confiance des investisseurs. Les investisseurs étrangers ne s’engagent guère dans des pays qui présentent un risque de change d’environ 50%. L’environnement économique et politique actuel ne permet pas d’améliorer la confiance des entreprises. Elle n’encourage pas non plus une planification d’entreprise fiable. Au milieu de la tourmente des marchés financiers, de nombreuses décisions ont en effet été nécessaires pour minimiser les effets néfastes de la contagion et de la contraction économique prolongée. Et l’UE devait démontrer que l’intégration européenne est fondée sur la solidarité mutuelle. Mais après six ans de stagnation économique, il est temps de réaliser que la solidarité est devenue une riche source de résistance politique plutôt qu’une source de force économique. La forte augmentation des partis populistes anti-UE en Europe est une conséquence directe de l’échec des dirigeants européens à élaborer des politiques et des institutions pour un succès durable. Dans un récent appel à un nouvel accord pour la Grèce, le ministre grec des Finances, Varoufakis, a une fois de plus critiqué l’approche stratégique de la Troïka pour se concentrer sur les finances publiques, déclarant que ce n’est «  pas plus qu’une simple tactique  ». Varoufakis soutient que les «engagements du nouveau gouvernement grec sont stratégiques plutôt que tactiques et que leur logique est solide». La honte est que l’appel de Varoufakis ne représente qu’un autre bout des lèvres d’un gouvernement qui manque d’argent. Les gouvernements grecs précédents ont fait des promesses similaires. Ils n’ont pas fonctionné. Et de nombreux Européens en ont juste marre du fait que leurs gouvernements doivent invariablement prendre la relève. Les dirigeants européens devraient reconnaître que l’intégration monétaire peut produire des résultats économiques et politiques indésirables. Plus le nombre d’États membres de la zone euro est grand, moins le groupe est homogène; plus les paysages institutionnels formels et informels sont diversifiés, moins il est probable que les règles convenues d’un commun accord seront respectées. Un nouveau modèle pour l’Europe commencerait par des politiques et des institutions de développement durables, et non par la conception et la structure actuelles de l’euro. Dans le nouveau modèle de développement de l’Europe, l’intégration monétaire suivrait une réelle convergence économique et institutionnelle. Les pays qui ne rattraperaient pas leur retard seraient libres de partir. L’intégration monétaire resterait l’ambition ultime de l’Europe.



Il est nécessaire de délier l’entreprise pour plus de croissance


Plusieurs secteurs d’activité se font aujourd’hui affecter des subventions de la part de l’Etat. En elles-mêmes, ces aides publiques ne sont pas dommageables… si elles contribuent à l’école, l’apprentissage, ou la R&D. Ce devrait demeurer l’objectif premier de l’attribution par l’Etat. Les subventions sont En réalité, trop souvent octroyées à des des domaines d’activité dépassées qui ont refusé d’changer avec leur époque. Par exemple, le secteur de la métallurgie ou les chantiers navals. Les soutiens sont en plus fort souvent octroyées aux projets phares de politiques qui imaginent que leurs impressions comptent plus que celles du marché. On peut penser seulement aux autobus roulant au gaz naturel ou au tourisme. Les subsides sont trop fréquemment dispensées à des domaines bénéficiant de faveurs d’un député, qui vomissent le libre marché et ont ainsi besoin d’être entretenus de leurs ennemis. Personne n’a doté des subventions à Apple pour qu’il s’impose sur le marché un produit novateur comme son téléphone, amenant presque la dégringolade d’une industrie telle que Nokia. Personne n’a attribué des subventions à un fabricant de véhicules comme BMW afin qu’il rehausse de façon étonnante sa part de marché en proposant des véhicules plus séduisants pourvus de moteurs moins gourmands. Les subventions s’efforcent de asservir, voire de circonscrire l’alternative du particulier. Le principe des subventions agricoles en Europe en est la parfaite illustration. La combinaison des aides agricoles pour les agriculteurs locauxet de charges à l’import pour les concurrents étrangers empêche le choix des consommateurs européens et les contraint à raquer davantage des prix prohibitifs que si le marché était ouvert. Le libre marché est le meilleur moyen de motiver les entreprises à évoluer. Celui qui n’y arrive pas est promis à périr. Mais celui qui arrive à séduire les les citoyens grâce du prix, de la valeur ajoutée et du service est rétribué à la hauteur de l’effort. La meilleure manière de dégrader ce dispositif de sélection naturelle est de adjuger des subventions qui soutiennent la lenteur des industries, alors que la rivalité encourage leur audace.



Sortir des réseaux sociaux


Composer les critères de l’algorithme de mon parfum est devenu beaucoup plus facile une fois que je me suis inscrit à l’aide d’autres techniques. J’ai fait cela en utilisant un instrument appelé Noisify, qui renseigne son club sur Facebook ou son myspace, avec des phrases aléatoires. Cathy Deng, une développeuse de San Francisco, a développé Noisify après les élections de 2016, lorsqu’elle a semblé s’enthousiasmer pour les «bulles de filtrage» gouvernementales. «Cela semble assez limitant de dire:« Le monde est disponible sur cet axe de rester-opposé à droite, ‘? « elle m’a dit. « La façon dont je le trouvais était la suivante: le monde entier est vraiment bien meilleur que cela. » La configuration de Noisify a suralimenté ma quête de nouveauté. La ressource m’a guidé vers des côtés de Facebook ou de MySpace qui me font penser à de petites vacances de la part de votre assaut commun d’actualisations de la vie et de médias gouvernementaux: des pages Internet consacrées aux privilèges de propriété mentale, des choses accessibles dans la petite ville du Maryland, ainsi que Virgil Fox, organiste du XXe siècle visiblement très aimé. Ce processus de navigation fonctionnera également sur d’autres plateformes de médias sociaux. «Chaque mois du calendrier», affirme Crystal Abidin, une anthropologue qui étudie la tradition mondiale, «je suis sélectivement un certain nombre de comptes de crédit, parfois liés à une région ou à un groupe de personnes ou de douanes sur Instagram, dans un devis. pour modifier mon flux. »Pour obtenir le même résultat sur You tube, elle va excessivement observer des leçons vidéo uniques. Abidin navigue fréquemment pour des raisons d’investigation et elle a besoin de pouvoir explorer une étendue étendue du paysage informatisé plutôt que simplement le morceau que les systèmes de médias sociaux adaptent à ses qualités personnelles. Elle réalise qu’il est utile de naviguer sur Instagram avec des graphiques comportant des hashtags qui «ne sont fondamentalement pas aussi faisables, car ils contiennent de nombreux articles archivés», comme #japan ou #toddlers. Elle dit que c’est « déroutant, parfois amusant, et aussi absolument terrifiant qu’il y ait tellement de choses sur le marché que je ne pourrais personnellement jamais découvrir. »



L’Ecosse est nationaliste


Conformément à la tradition écossaise, le légendaire maître Angus (Achaius ou Hungus) a découvert un sautoir de couleur blanche dans le ciel azur tout au long de sa bataille contre les Saxons à proximité de ce qui est aujourd’hui le village d’Athelstaneford. C’est le début supposé de la croix de Saint-André, même si l’occasion, liée à 737 ou 832 après JC, est clairement apocryphe. La toute première utilisation corroborée du temps des signes remonte à 1286, voyage incentive Edimbourg date à laquelle il est apparu au sein du gouvernement à proximité des «gardiens» de l’Écosse. Les armoiries royales d’Écosse – un lion rouge et une bordure élaborée sur un fond de couleur jaune – ont été utilisées au début du XIIIe siècle sur les phoques et, très probablement, en drapeau; au cours du XXe siècle, il était absolument officieusement et incorrectement utilisé comme drapeau écossais dans tout le pays. Au cours de l’été 1385, le Parlement écossais a décrété que les soldats devaient porter un insigne portant la traversée de Saint de couleur blanche. Andrew s’oppose à un palmarès noir. Le drapeau correspondant, ayant souvent une histoire d’azur, a probablement été choisi pour fournir une distinction frappante au drapeau de couleur rouge et blanc de l’Angleterre (la croix de Saint-George). Après 1606, tout au moins à l’époque où l’Écosse et la Grande-Bretagne étaient sous un monarque typique, Ecosse le sautoir de Saint. Andrew et aussi la traversée de Saint. George est uni. L’apparition de l’Union Jack est la démonstration la plus reconnue d’une combinaison, mais un accord trimestriel était officiel tout au long du règne d’Oliver Cromwell au milieu du XVIIe siècle. Lorsque l’Écosse et la Grande-Bretagne sont devenues membres de la Grande-Bretagne en 1707, leurs bannières personnelles ont cessé d’être reconnues dans le monde entier. Le nationalisme écossais était comparativement muet dans les années 1950, indépendamment de la signature d’un pacte écossais, qui exigeait un régime interne en Écosse, censément par plus de deux millions d’écossais en 1949, et malgré le vol du Rocher de Scone, le rocher d’origine sur lequel les rois écossais étaient habituellement couronnés, de l’abbaye de Westminster le jour de Noël 1950 (la pierre naturelle, qui a été livrée en Écosse, a été renvoyée en avril 1951). À la fin des années 1950, les nationalistes écossais ont renforcé la liberté ou le déploiement d’une construction décentralisée, bien que leurs exigences aient été comparées par des célébrations tout aussi importantes. Le climat économique chancelant de l’Écosse sous les conservateurs en 1951-1964 a contribué à augmenter l’aide au travail, qui a battu les conservateurs de 43 sièges à 23 en 1964 et de 46 sièges à 20 en 1966. Les libéraux et aussi le SNP, dont chacun a soutenu une plus grande l’autonomie de l’Écosse a également fait des bénéfices lors de ces élections, bien que le SNP n’ait réussi à garantir aucun siège parlementaire. Dans les années 1960, le gouvernement Work de Harold Wilson a introduit une stratégie pour moderniser l’économie écossaise et recycler sa main-d’œuvre pour les premières industries.



Brexit: un accord trouvé mais sans faux-fuyant


Sir Edward Leigh Megapixel estime que les autorités sont beaucoup plus proches d’avant que d’atteindre leur objectif premier de sortir cet État de l’Union européenne. Il est à noter que le Premier ministre a pu contraindre Bruxelles à rouvrir son offre de négociation, ce que beaucoup de personnes ont expliqué être irréalisable et désespérément naïve. Il a assuré que les Britanniques ne seraient pas certains des lois, réglementations et taxes européennes, ainsi que de la suprématie avec la salle d’audience européenne en Grande-Bretagne. Le backstop, dont l’UE a régulièrement déclaré qu’il s’agissait d’un besoin de base fondamental, est actuellement éliminé et démissionné pour la formation de fonds de terre et de poussière en suspension dans l’air. Au lieu de cela, ce sont les citoyens de la Haute-Irlande qui maîtrisent généralement la législation sous laquelle ils vivent, autour des îles britanniques. Le meilleur ministre a renégocié et obtenu un meilleur accord par rapport à celui que nous avions obtenu juste avant, qui permet à la Grande-Bretagne de se libérer de l’Union européenne sans interruption, et a même obtenu l’aide de la majorité à la Chambre des communes lors de la deuxième consultation. La toute nouvelle offre donnera à la Grande-Bretagne la liberté de modifier ses accords uniques avec l’industrie afin d’interrompre les limites de sécurité établies par Western Union, qu’elle soit obligée de choisir – ou même de conserver des protections intelligentes pour les propriétaires, les entreprises et les fabricants agricoles britanniques. événement qui est souhaitable. En ce qui concerne les libertés individuelles, une fois que la Grande-Bretagne aura quitté l’UE, le gouvernement fédéral conservera son solide héritage consistant à proposer des conditions plus strictes que les critères minimaux de l’UE. Par exemple, le salaire résidant en Grande-Bretagne augmente à 10,50 £ par heure d’ici 2024, alors que l’UE ne prévoit aucune nécessité. La coquille malade restera à 28 semaines – les modèles européens ne comportent aucune norme minimale. Le congé de maternité de l’Union européenne est de 14 mois, contre 52 semaines au Royaume-Uni, tandis que le personnel britannique reçoit 28 fois une fois par an un minimum de 20 jours d’abandon par an. Frustrés, les libéraux démocrates et le Work-Together se refusent à présenter le plan très sensé qui garantira que le Brexit sera achevé le 31 octobre et plusieurs tentent d’organiser un autre référendum qui provoquerait des retards et des tergiversations inutiles. Je pense que c’est vraiment une insulte de partager avec les électeurs que d’imaginer à nouveau lorsque les députés n’ont toujours pas réussi à appliquer les résultats du référendum unique – ce que les conservateurs et les travailleurs avaient promis de faire dans les manifestes de sélection de 2017. Dans le même temps, les prévisions de votre Fonds économique international montrent que la situation financière du Royaume-Uni – qui s’est développée de 19% parce que les conservateurs ont accédé à l’administration de nouveau en 2010 – se développera plus rapidement que la France, l’Allemagne et le Japon.



L’avenir est dans le vin


Quand les gens travaillent dans les contrats à terme, ils négocient des contrats pour acheter certaines quantités d’articles, comme du bétail, de l’argent ou de l’énergie solaire. Un grand merci à une entreprise alternative, E-Cep, qui dépend de la ville de New York, améliore encore la collecte de produits de base: le vin. E-Cep a commencé avec les équipages de Serge Marquié et Sally Wilkinson. E-Cep offre une fente scientifique à En Primeur, un système occidental vieux de plusieurs générations dans lequel des passionnés acheter du vin rouge juste avant sa mise en bouteille. Le marché des produits de base d’E-Cep ouvre les portes du savoir-faire à vos clients et vous permet de créer un processus de coûts beaucoup plus réaliste pour les établissements vinicoles. Sur le marché à terme d’E-Cep, les établissements vinicoles contributeurs publient leurs offres – bouteilles individuelles, bouteilles de taille considérable, modèles de bouteilles uniques – en utilisant un détaillant en ligne. Les commandes des clients placées telles que des cravates; La transaction est accumulée à l’avance, mais les taxes et les frais de transport sont différés jusqu’à ce que le vin soit introduit – normalement un an ou deux (ou plus) plus tard. Pourquoi des connexions? Étant donné qu’il est illégal pour les viticulteurs américains de vendre leur vin rouge avant sa mise en bouteille. Avant E-Cep, la meilleure chose à faire était de conserver une liste d’attente. Ceci met fin à la passion de certains amateurs – des individus comme Marquié, qui était incapable d’obtenir un conteneur de son cal favorisé Cabernet après l’accouchement de son enfant pendant 12 mois parce que d’autres œnophiles l’avaient déjà attrapé. Fort de son expérience de deux décennies dans la banque de paiement, il a conçu E-Cep comme une méthode efficace pour contourner le programme de collecte sélective et permettre aux amateurs de vins d’avoir accès aux conteneurs des prestigieux viticulteurs de la Napa Valley tels que Dana Estates, Blankiet Real Estate, Ovid. Napa Valley et Vine Slope Ranch. Les viticulteurs peuvent utiliser le marché à terme pour déterminer leur désir – et pour cette raison, le prix de vente – de leur vin, ainsi que pour mesurer l’intérêt du marché pour les nouveaux cépages. « Le système est très accommodant pour les viticulteurs », affirme-t-il. « Cela leur donne le contrôle total sur les boissons au vin qu’ils offrent, à quel point ils vendent et à quel moment ils l’offrent. »



Dans les cieux


Lundi dernier, par une journée légèrement venteuse. Je m’approche de l’aérodrome. Je suis un brin excité : c’est que je m’apprête à exécuter un saut en chute libre pour la première fois. J’ai rendez-vous avec mon instructeur, Michael. L’atmosphère est plutôt décontractée : on se tutoie immédiatement. David m’expose ce qu’il faudra faire pour échapper aux problèmes, puis c’est le moment d’enfiler mon harnais. Après ça, je découvre l’avion, un minuscule Piper qui me semble sortir d’une autre époque. J’entre tant bien que mal à bord de l’appareil. L’équipement est plus que rudimentaire : on s’installe à même le sol. L’instant d’après, nous quitte le sol. Le vol en lui-même est un moment mémorable. Je suis habitué à prendre l’avion, voler à bord d’un appareil de ce genre s’avère assez angoissant. Après une demi-heure de vol, nous arrivons enfin une altitude de 3500 mètres. Raphaël unit mon harnais au sien, puis m’affuble d’une protection par-dessus mes lunettes. Le cordon est vraiment juste, mais étant donné qu’on va tomber à plus de 200 km/h, il faut faire en sorte de ne pas les perdre. Je sens l’adrénaline couler en moi lorsque vient le moment fatidique et que je me retrouve face au vide. On se lance enfin. Après quelques secondes passées à nous stabiliser, saut en parachute je peux enfin admirer la vue : sublime. C’est parti pour quarante secondes de pur bonheur. Nous fonçons à une vitesse phénoménale. Plus rapide qu’une automobile sur voie rapide. Le vent, le froid, le vide. Ce n’est pas tous les jours qu’on vole. Soudainement, le parachute s’ouvre. C’est bien moins brutal que ce que je croyais.. Et le vol devient tout autre. cinq minutes de bonheur. La paix qui prédomine à cette altitude est impressionnante, d’autant plus impressionnante après la phase de chute. Le monde est beau à crever. Une sensation grisante. Peu de temps après, on rejoint la terre ferme, à deux mètres à peine du hangar où j’ai rencontré Chris. La classe internationale. Retrouver la terre est un moment plutôt bizarre : on a du mal à la voir comme par le passé après l’avoir observée depuis le ciel !



Aerobus achète chez Airbus


Le transporteur à très bas coût VivaAerobus a pris livraison de son premier nouvel A320 à la suite du transfert des avions au centre de livraison Airbus à Toulouse. L’A320 est le premier à être livré à partir d’une commande passée en 2013 portant sur 52 appareils (12 A320ceo et 40 A320neo), ce qui représente la plus grande transaction effectuée par un client mexicain. VivaAerobus exploite déjà six A320 loués et deviendra l’un des principaux opérateurs d’Airbus, car il achève la transition de sa flotte de 737 à 300 d’ici début 2016. Tous les A320ceo de VivaAerobus, y compris le premier, sont équipés de moteurs IAE. L’A320neo sera propulsé par les moteurs Pratt et Whitney. L’appareil sera déployé sur le réseau national de la compagnie aérienne et sur les lignes internationales vers les États-Unis. « Notre nouvelle flotte d’A320 permettra à VivaAerobus de continuer à améliorer notre efficacité opérationnelle en réduisant nos coûts et nos tarifs pour nos passagers, tout en offrant une mise à niveau significative avec le confort de la cabine A320 », a déclaré Juan Carlos Zuazua, PDG de VivaAerobus. « Nous ne pourrions pas être plus heureux d’intégrer ce nouvel avion à notre flotte grandissante d’Airbus et nous sommes impatients d’étendre notre réseau et de permettre à encore plus de passagers de voler pour la première fois. » « Nous sommes fiers que VivaAerobus ait choisi le marché. La famille A320 incite à renouveler sa flotte et à étendre son réseau, en franchissant une nouvelle étape pour devenir un opérateur entièrement Airbus », a déclaré John Leahy, directeur de l’exploitation, Clients. «La fiabilité inégalée de l’A320, son confort exceptionnel et son efficacité énergétique imbattable complètent le modèle économique de VivaAerobus et nous souhaitons voir leur succès évoluer encore davantage avec la NEO dans les années à venir.» VivaAerobus, détenu conjointement par IAMSA, La plus grande compagnie de bus du Mexique et Irelandia, un groupe mondial de développeurs de compagnies aériennes à bas coûts, simulateur ont basé leur stratégie de renouvellement de la flotte sur la famille A320. Les économies d’exploitation et la fiabilité inégalées de l’A320 joueront un rôle essentiel dans la mesure où cette compagnie aérienne répondra à la demande croissante de voyages aériens économiques au Mexique. La famille A320 est la gamme de produits monocouloir la plus vendue au monde avec près de 11 700 commandes à ce jour et plus de 6 500 avions livrés à 400 clients et exploitants dans le monde entier. Le dernier-né de la famille A320, l’A320neo, intègre de nombreuses innovations, notamment des moteurs de dernière génération et des dispositifs à bouts d’aile Sharklet, qui permettent d’économiser plus de 15% de carburant dès le premier jour et de 20% d’ici 2020. clients depuis son lancement en 2010, la famille A320neo a conquis près de 60% du marché. À ce jour, le programme A320neo compte 345 commandes fermes émanant de six clients en Amérique latine. Avec plus de 950 appareils vendus et un carnet de commandes de près de 500, plus de 550 appareils Airbus sont en service en Amérique latine et dans les Caraïbes. Au cours des 10 dernières années, Airbus a triplé sa flotte en service, tout en fournissant plus de 60% des avions de la région.